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Les jedi et les sith se livre une guerre destructrice, le seul espoir de la galaxie et l'ordre des gardiens de la force qui tente par tout les moyens de sauver la galaxie du chaos, vont-ils y arriver ?
 
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 Myth ???

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AuteurMessage
Rgane Saa
Membre conseil des Gardiens de la force
Rgane Saa


Nombre de messages : 1139
Planète de Naissance : Inconnue
Date d'inscription : 24/05/2005

Myth ??? Empty
MessageSujet: Myth ???   Myth ??? EmptySam 1 Déc - 1:31

Voici la réponse de mon questionnement de la dernière game, J-S disait qu'il y avait un vide et qu'on retrouvait du gaz seulement dans l'espace, mais au 100ième de milié de kilomètre, moi je disais que le vide n'était pas un vide, mais était composé de quelque chose, car le vide n'existait pas en soit sauf avec des trou noir:


Réponse sur: http://pagesperso-orange.fr/le.renifleur/videspatial.htm


Un vide d’une pureté relative
L’une des caractéristiques du milieu spatial est un vide très poussé qui y règne. Aucun dispositif technique ne permet aujourd’hui de reproduire cet état sur la Terre.

Si la pression atmosphérique normale au sol est de 760 mm de Mercure, il en va autrement à des altitudes de l’ordre de 250 à 400 km. Il règne alors une pression inférieure à 10-12 mm, soit un millième de milliardième de mm de mercure. Cette pression augmente cependant au contact même des engins spatiaux, conséquence d’un léger dégazage de leurs parois.

Le nombre de particules par centimètre cube atteint 26 milliards de milliards dans l’air au niveau de la mer. Cette valeur chute à 0,1 dans l’espace interplanétaire.

Dans l’atmosphère terrestre, une molécule parcourt en moyenne, plus de 80 nanomètres, c’est à dire 80 milliardième de mètre, avant d’entrer en collision avec une autre molécule. Dans l’espace, cette même molécule doit franchir une distance de 20 milliards de kilomètre pour en percuter une autre !

En dépit de son vide apparent, l’espace interplanétaire contient énormément de matière sous la forme de micrométéorites et de poussières. Il est également encombré de rayonnements électromagnétiques et corpusculaires : rayons cosmiques, vents stellaires, ondes radio…


Bref, le vide n'est pas vide c'est qu'il est compacter et que nous ne pouvons pas le voir, gaz, débrie, poussière etc.. font partie de la constitution de se vide, qui n'est pas un vrai vide car un vrai vide c'est un trou noir.

Un autre source:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Vide

On peut dans une première approche dire que le vide est un espace dans lequel les molécules sont fortement raréfiées. Ainsi, pour « faire le vide », on prend une enceinte étanche et on pompe l'air avec une pompe à vide ; on définit la qualité du vide par la pression d'air résiduelle, exprimée en pascal (Pa, unité du système international), ou plus souvent dans le milieu industriel en millibar (mbar) ou torr (mm de mercure). On ne peut atteindre ainsi qu'un vide partiel, quelle que soit la température.

Un vide considéré comme très poussé, « ultravide », correspond à une pression de l'ordre de 10-8 Pa ; on y dénombre encore 2 millions de molécules par centimètre cube[1]. Par comparaison, la densité au sein des gaz interstellaire est de l'ordre de 1 atome par centimètre cube.

Mais qui dit absence de matière ne dit pas absence d'événement. Ainsi, les ondes électromagnétiques traversent le vide, et c'est le milieu qui s'oppose le moins à leur avancement (la vitesse de la lumière dont on parle usuellement, limite à toute transmission d'information, est celle dans le vide) ; il y a dans le vide des variations du champ électrique et du champ magnétique, mais ces champs ne nécessitent aucun support matériel. Le vide total nécessite donc l'absence à la fois de matière mais aussi de rayonnement.

Le vide absolu défini ci-dessus est donc un milieu statistiquement sans particules élémentaires. La physique quantique, qui définit le vide comme l'état d'énergie minimale de la théorie, montre qu'il reste néanmoins le siège de matérialisations spontanées et fugaces de particules et de leur antiparticules associées, on parle de particules virtuelles, qui s'annihilent presque immédiatement après leur création. Ces fluctuations quantiques sont une conséquence directe du principe d'incertitude qui affirme qu'il n'est jamais possible de connaître avec une certitude absolue la valeur précise de l'énergie. On appelle ce phénomène les fluctuations quantiques du vide[2].


Donc , j'avais raison


Dernière édition par le Sam 1 Déc - 1:47, édité 4 fois
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Rgane Saa
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MessageSujet: Re: Myth ???   Myth ??? EmptySam 1 Déc - 1:43

Concernant le laser, elle se qui dégage de la chaleur sur les côté ou seulement sur la cyble, J-S disait qu'il en dégageait sur les côté et sur la cyble moi je disait sur la cyble seulement, réponse:

http://www.hc-sc.gc.ca/iyh-vsv/med/laser_f.html

Contexte
Un certain nombre d'instruments médicaux faisant appel à des technologies connexes ont été homologués au Canada pour utilisation dans les traitements esthétiques. Ces technologies comprennent divers types de lasers, la lumière intense pulsée et l'énergie de radiofréquence, qui fonctionnent tous selon le même principe de base.

Les lasers émettent un intense faisceau de lumière ou d'énergie (visible ou invisible) d'une longueur d'onde précise, qui cible un type de tissu dans la partie du corps traitée. Quand le faisceau d'énergie atteint sa cible, il est absorbé et transformé en chaleur. Si la technique est bien réalisée, la chaleur inactive ou détruit les cellules dans la région ciblée sans effet important sur les cellules environnantes.

Deuxième source

http://www3.univ-lille2.fr/safelase/french/tiss_fr.html

L'interaction lasers - tissus vivants
Dès leur naissance en 1960, les lasers sont apparus comme des sources de lumière potentiellement intéressantes pour la médecine car elles avaient trois caractéristiques qui les distinguaient des sources conventionnelles : la directivité, la possibilité de fonctionner en mode pulsé, et la monochromaticité. La directivité, c'est à dire l'émission sous un fin faisceau parallèle, permet de transmettre cette lumière (visible, proche infrarouge et proche ultraviolet) à l'aide d'une fibre optique de faible section (50 à 600 µm). L'émission pendant des durées très brèves (mode pulsé), de la milli seconde à la femto seconde (10-3 à 10-15 s), donne des puissances instantanées extrêmement élevées qui peuvent atteindre le Giga Watt (109 W), avec des effets tissulaires différents de ceux obtenus avec des lasers à émission continue. L'émission d'une seule couleur, la monochromaticité, évite d'avoir à filtrer la lumière pour obtenir des effets sélectifs, et donc de perdre de l'énergie. Néanmoins, il faut savoir que les molécules biologiques ont un spectre d'absorption beaucoup plus étendu que la largeur du spectre émis par un laser et que cette caractéristique si importante pour les physiciens ne sera pas pleinement utilisée en thérapeutique.

1 Effets thermiques des lasers
L'effet thermique des lasers sur les tissus biologiques est un processus complexe résultant de trois phénomènes distincts: une conversion de lumière en chaleur, un transfert de chaleur et une réaction tissulaire liée à la température et la durée d'échauffement (figure 1).

Cette interaction conduit à la dénaturation ou à la destruction d'un volume tissulaire. Les données connues sont les paramètres du laser (longueur d'onde, puissance, temps et mode d'émission, forme du faisceau et surface du spot) et le tissu à traiter (coefficients optiques, paramètres thermiques et coefficients de la réaction de dénaturation thermique).

a) Création de la source de chaleur
La source de chaleur est induite par conversion de la lumière laser en chaleur. La réflexion optique détermine quelle proportion du faisceau va effectivement pénétrer dans le tissu. La connaissance précise de la réflectivité des tissus est importante car elle peut atteindre des valeurs élevées (30 % à 50 % du faisceau Argon sont réfléchis par la peau). Cependant, pour les longueurs d'onde supérieures au visible, la réflexion tend à diminuer considérablement.

Figure 1 : Schéma des 3 étapes de l'action thermique

La diffusion optique est une interaction de la lumière avec la matière dans laquelle la direction du rayonnement incident est modifiée par des hétérogénéités (molécules ou petites particules présentes dans le milieu). La diffusion joue un rôle important dans la distribution spatiale de l'énergie absorbée. Lorsque la lumière est peu absorbée (rouge et proche infrarouge), la pénétration en profondeur du faisceau serait importante, si elle ne décroissait pas rapidement à cause de la diffusion.

L'absorption est fonction du couple longueur d'onde - chromophore (figure 2). La plupart des molécules organiques ont une forte absorption dans l'ultraviolet. Aussi, les profondeurs de pénétration dans l'U.V. sont extrêmement faibles (quelques microns). Dans le visible (bleu, vert, jaune) l'absorption s'effectue principalement au niveau de l'hémoglobine et de la mélanine. Le rouge et le proche infrarouge (0,6 à 1,2 µm) sont peu absorbés et pénètrent profondément dans les tissus (cette pénétration est cependant limitée par la diffusion optique). Ensuite, dans l'infrarouge moyen et lointain, c'est l'eau qui absorbe intensément la lumière qui a donc des effets très superficiels. C'est la conversion en chaleur de la lumière absorbée qui est à l'origine d'une source de chaleur que l'on peut appeler "primaire".

b) Mécanismes de transfert de la chaleur
Le transfert de chaleur dans les tissus va tendre à augmenter le volume de cette source de chaleur "primaire". Ce transfert est essentiellement assuré par le mécanisme de conduction, car l'influence de la circulation sanguine (transport par convection) est négligeable. La conduction peut être considérée comme un transfert d'énergie par interaction des particules du tissu. Ce transfert se fait aléatoirement des particules les plus énergétiques vers celles qui le sont moins et aboutit à un volume chauffé "secondaire" plus volumineux que la source "primaire" où s'est effectuée la conversion de la lumière en chaleur. C'est ce volume chauffé "secondaire" qu'il faut prendre en considération pour étudier la dénaturation du tissu.



Donc, en mega gros résumé, le laser en retran en contact avec le tissu, brule du au contact de la lumière émit par se dernier et le tissu composé d'eau et d'autre matière. Bref, le laser ne brule que sur la cyble et non dans l'air embiante à côté du laser.

J'avais encore raison, merci
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